Cela a vraiment commencé pendant les dernières vacances. Pendant une semaine, tous les jours, j'avalais sa pisse et recevait sa merde sur moi. J'ai mangé des petites quantités de merde à chaque fois. J'allais même récupérer dans le pot de chambre les merdes de la nuit pour jouir avec.
La truie est tombée tellement bas que maintenant elle m'utilise de plus en plus souvent comme chiottes.
Avant, elle n'acceptait que la pisse, même si elle me remplissait la gorge d'urine. Elle n'aimait guère me voir me comporter comme une petite lopette, qui avale toute sa pisse, mais à force, elle y a pris un certain goût. Des fois, ça venait d'elle même. On était dans le lit, le matin et elle me disait : "Viens chiotte ! J'ai envie de pisser". Je me m'étais allongé sous sa chatte et elle se vidait entièrement dans mon bide. Petit jet par petit jet, pour que je puisse tout boire. Quand elle pissait, elle me disait : "Et que la literie soit propre !".
Maintenant, elle se vide l'intestin sur moi. La débile sexuelle me chie même directement dans la gueule. Je lui lèche le fion et elle pousse et sa merde envahit ma bouche. Elle en a plus rien à foutre que j'attrappe des microbes, comme elle disait avant. Maintenant elle me gave la gueule d'excrément. Et elle prend son temps la grosse vache ! Avec les boudins qui sort de son boyau, elle met un temps fou à se vider entièrement.
Je sais qu'elle prend son pied quand elle pousse sur ma langue. Je l'entend pousser des râles de plaisir. D'ailleurs, maintenant, c'est le seul moment où je peux lui foutre des doigts dans le derche. Quand elle chie. Elle pousse sur mes doigts qui fouillent au plus loin de son boyau pour récupérer de la merde.
Une fois que la grosse panse a sortie toute sa merde, je commence à m'en fout partout. Sur la tronche, sur mes cheveux, dans ma bouche. Là, la truie se recule et assiste à ma déchéance. Elle me prend en photo et se lache complètement : "Espèce de chiottes ! tu me dégoutes, tu n'es qu'un déchet, obligé de bouffer de la merde pour jouir, gros porc, tu m'écoeures...". Après un certain temps, elle me lache : "Tu pues de trop, je me casse".
Voila le genre de trou du cul que je lèche.
Une bonne et vicieuse année à tous les salauds et les gros porcs qui se branlent sur ma graisse.
Les voeux du gros porc : saloper et dégrader encore plus la truie, pour qu'elle devienne encore plus infecte.
La grosse merde, il y a presque deux ans. Les trous rasés. Toujours autant de graisse, mais sans les poils, ça fait un peu moins dégueu. A peine potable mais comme ça, je pouvais la refourguer à d'autres salauds. A l'époque, j'aimais lui raser la chatte et le fion. J'aimais voir ses grosses lèvres graisseuses. Maintenant, je la préfère souillone, dégueulasse, poilue, négligée.
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