Samedi 5 février 2011
Matinée :
Me branle au lit. Jouis dans le drap.
Fait quelques photos de l'état des lieux de l'appartement :
- une des culottes séchée de pertes de la grosse
- un lit porcherie où la truie et moi dormons depuis des mois : sa pisse, la mienne, mes traces de merde, ses traces de sang des règles, du sperme, de la crasse quand je ne me lave pas pendant plusieurs jours...
- dans la cuisine, derrière la cuisinière. Jamais lavé en 3 ans. Plusieurs millimètres de gras, des restes de nourriture, un vrai nid à microbes.
- autour du coin poubelle, près de l'évier. Jamais nettoyé. Les poubelles débordent, personne ne ramasse ce qui tombe sur le sol.
- vaisselle pas faite depuis plus d'une semaine.
En faisant le tour de l'appartement, je me branle en même temps. Je jouis sur une des serviettes dans la salle de bain.
Fin de soirée :
J'insiste pour baiser. M ne veut pas, elle a ses règles mais accepte quand même de servir de vide couilles. Elle s'allonge sur le ventre. Elle porte une culotte avec une couche. Je vais sur le lit et commence à lui tripoter la moule. Au bout d'un certain temps, elle rouspète. Je prend alors ma bite et lui fout dans sa culotte en branlant avec.
Moi : "je vais te pisser dessus salope".
Pas de réponse de sa part. Je lui envoie plusieurs petits jets à l'intérieur de sa culotte. Elle ne dit absolument rien. Alors je continue avec des jets de pisse beaucoup plus fort. Toujours pas de réaction. Alors je me lache complètement. Je pisse s'en m'arrêter comme un gros porc. Sa culotte et sa couche sont trempée, le lit pareil. M se lève d'un seul en gueulant comme une malade puis va dans le salon. J'apprendrais qu'elle s'est lavé à l'eau et changé de culotte et de couche.
Moi je reste dans le lit, me met sur le dos et me pisse dessus. J'en ai partout. Sur la bite, le torse, la gueule... et le lit est trempé.
Je vais dans le salon plein de pisse et supplie M de me pisser et de me chier dessus. Elle me traîte de gros malade dégénéré. Je suis à genou par terre, elle, assise devant l'ordinateur. Je lui lèche la jambe, elle me repousse avec son pied. Je me met alors à quatre pattes, la gueule collé au sol et je me branle tout en l'insultant.
Moi : "Chie moi dessus salope, grosse pute, chie dans ma gueule, fait moi bouffer ta merde connasse..."
Elle : "Connard"
J'arrête et retourne dans la chambre. Je passe par la salle de bain et je vois sa culotte avec la couche à l'intérieur trempées de pisse, posées négligemment sur la serviette. Je prend et commence à lécher ma pisse. J'arrive à en avaler.
Retour chambre, je me met dans le lit, sur le dos et je commence à pousser pour chier. Une crotte grasse sort du trou et s'étale sur mes fesses. Moi je grogne comme un porc et je frotte mon cul merdeux sur les draps. Je bouge du cul comme une vraie salope en rute. Je fous de la merde partout. La chambre commence a s'imprégner d'une odeur d'excréments. Je me branle quelques minutes et et jouis sur mon torse.
Je me lave le fion et ouvre la fenètre pour enlever la forte odeur et sécher la pisse. Il est passé 2 heures du matin, M est toujours dans le salon. Peu de temps après, elle revient dans la chambre pour se coucher. Quant elle sent et voit l'état des draps, nouvelle gueulante, et elle repart dans le salon en criant qu'elle passera la nuit là-bas.
Moi je me prend en photo le trou du cul et me couche, les fesses dans la pisse.
Une bonne demie heure après, M revient et entre dans le lit sans dire un mot.
Dimanche 6 février 2011
Rien
Je prend en photo M qui entre dans le lit pour dormir. Elle ne fait aucun commentaire sur l'état du drap.
Le fait de voir cette grosse vache aller se coucher dans des draps aussi crades que ça me fait bander. Non seulement elle ne dit rien mais en plus elle se laisse photographier.
Je vais aux chiottes et me branle. Je me fous un doigt dans le fion, me branle un peu le cul puis le ressort et le lèche. J'avale un peu de merde. Je suce complètement mon doigt pour qu'il n'y ait plus de traces de merde. Jouis sur le sol. Vais au lit sans me laver.
Lundi 7 février 2011
Rien. Malade toute la journée.
Mardi 8 février 2011
Rien. Malade toute la journée.
Me branle 5 fois.
Je prend en photo le lit le matin.
Mercredi 9 février 2011
Rien. Malade toute la journée.
Me branle 4 fois.
Jeudi 10 février 2011
Toujours malade.
Me branle 6 fois.
Je ne me suis pas lavé depuis lundi matin. Je pue salement de la bite.
Je prend en photo le gros boudin qui se prépare pour aller au travail. Elle a tellement grossi du bide que plus aucune de ses culottes lui vont. Et comme elle a la flemme d'en acheter, elle use ses slips de vieille morue qui laissent déborder toute sa graisse.
Soirée : M me suce un peu, sans motivation de sa part comme de la mienne. Elle me dit que je pue de la bite, suce encore puis arrête car je ne bande pas. Je trifouille un peu sa rondelle, mais pareil, rien ne vient. On arrête et on s'endort.
Vendredi 11 février 2011
Rien.
Soirée où je devais lui servir de chiottes après dîner, mais on s'engueule juste avant.
Samedi 12 février 2011
On rentre de commission. J'ai envie de lécher les trous de M. Ils n'ont pas été lavés depuis hier matin. A peine arrivés, on va dans la chambre et je la pelote tout en lui enlevant ses boutons.
Une fois son pantalon enlevé, le tas de graisse écarte ses pattes et je fourre ma gueule dedans. Je lui bouffe ses trous sans lui ôter sa culotte. Je me demande pourquoi le boudin en porte une...
Sa chatte pue le pourri et la pisse. Je lèche, nettoie, avale, met ma langue dans son trou de balle bien graisseux de merde.
Je prend mon temps pour bien la lècher puis elle me demande de venir la baiser. J'ai la bouche qui pue la chatte mal lavée, et je la prend comme ça, en missionnaire, en l'embrassant avec mon trou d'égout. On baise quelques minutes puis je reviens vers sa chatte en lui demandant de me pisser dessus.
Elle : aller ! met toi en position !
Je m'allonge sur le sol et M se positionne accroupie, sa chatte directement devant ma bouche. Comme à son habitude, elle commence par de petits jets pour que je puisse bien avaler, puis ses jets deviennent de plus en plus puissants. Je prend sa pisse dans la gueule mais aussi sur le visage, sur les cheveux, dans le cou... Je suis trempé.
Une fois fini, elle garde la position et commence à pousser. Je suis à quelques centimètres de sa rondelle si se dilate progressivement. Je grogne de plaisir. Je sort ma langue et lèche son trou de balle déformé. Elle ne met pas longtemps à sortir sa merde. Une bonne merde bien grasse. Elle me fait directement dans la bouche. Je garde tout, puis recrache la merde dans ma main pour pouvoir bien lui nettoyer sa rondelle merdeuse.
Tout d'un coup, elle se redresse et fait une chose qu'elle ne m'avait jamais faite, elle se met à genou devant ma bite et commence à me sucer, alors que j'ai le torse et la gueule plein de merde. Elle me pompe comme une grosse salope, en faisant des grognements, en prenant ma bite jusqu'à la garde. C'est en la voyant faire ce genre de trucs que je me dis que c'est vraiment une dégénérée de la chatte. Quand elle suce comme ça, c'est qu'elle est en rute. La grosse me chie dans la gueule, puis me pompe le noeud en faisant des "grouin ! grouin" comme une truie en chaleur. ! Et moi je me lèche les doigts et avale la merde qui s'y trouve. Elle me suce quelques temps, puis se lève et va chercher l'appareil photo.
Moi je suis devant elle, sa merde dans la main, et je commence à me tartiner d'excréments tout en me branlant.
Je suis à genou, la gueule pleine de pisse avec de la merde dans la bouche et autour. Je tire la langue pour montrer à M comment elle est brune merdeuse. Je me retourne et m'étale ce que j'ai dans la main sur mon cul.
J'adore me comporter comme un gros porc dégénéré devant M. Quant elle me chie dessus et qu'elle me prend en photo ensuite, je fais les pires cochonneries pour qu'elle voit vraiment le chiotte dépravé que je suis. Une chose que je fais souvent c'est d'enfoncer des bouts de sa merde dans mon trou du cul. J'ai les doigts plein d'excréments et je me les enfonce dans le fion en essayant d'en laisser un maximum à l'intérieur.
Je change de position, et me fout le reste de sa merde sur le torse. Je me caresse tout en grognant comme une bête, je lèche mes doigts en lui disant que sa merde est bonne, que je suis son chiotte perso, qu'elle peut m'utiliser quand et où elle veut. Ma femme, finalement bien docile, attend que je jouisse. Assise sur le lit dans une odeur de merde très forte, elle me regarde de façon pitoyable, lachant quelques mots pour accélérer ma jouissance : "lopette... tu es un bon chiotte, une bonne p'tite pute à parking qui suce pour avoir de la pisse...". Je jouis sur le sol à gros bouillon.
Une fois fini, je me retourne et lui montre mes fesses en lui disant : "regarde le cul merdeux de ta lopette ! prend en photo le chiotte qui te sert de mari...".
Elle se lève, regarde le sol et me lance : "que ce soit bien propre après...".
Puis elle s'en va, me laissant couvert de merde.
Elle avait gardé sa culotte pour la pisse mais l'avait ôté juste avant la merde. La grosse dégueulasse va dans la salle de bain, prend un gant de toilette, le mouille puis s'essuie le fion avec, une fois, deux fois puis, elle revient dans la chambre, récupère sa culotte pleine de pisse par terre et la renfile, n'importe comment d'ailleur.
Elle restera une bonne demie heure avec sa culotte mouillée devant l'ordinateur. Moi, pendant ce temps, je me lave. Avant, j'essayais d'enlever un maximum de merde avec du papier que je mettais dans les chiottes. Maintenant, je vais directement dans la baignoire et je rince. Toute la merde s'évacue par le siphon. La pièce devient une vraie puanteur.
Une fois lavé, je vais dans la chambre et devant les chiottes pour nettoyer la pisse, les bouts de merde qui sont tombés sur le sol et mes crachats marrons. Devant la bonne grande flaque de pisse devant le lit, je commence à rebander. J'ai encore envie. J'approche ma bouche et aspire la pisse froide de ma femme. Tout ce que je n'ai pas avalé tout à l'heure, je le bois maintenant. Je me branle comme un malade. Ensuite, je prend la serviette devant la baignoire et essuie sommairement les restes des besoins de M et je vais au salon, la bite à la main en demandant à ma femme de lui lècher la chatte. Elle ne veut pas, je la supplie, elle finie par accepter : "je fini ça, j'arrive...". Mais en fait, elle me fait poireauter. Je suis là, devant elle, en bandant et l'autre salope prend son temps. Dix bonnes minutes passées, M va dans la salle de bain se peser. Regardez l'état de la salle de bain...
86,4... A mon grand désespoir, la truie a salement maigri. Il n'y a pas si longtemps que cela, elle affichait un bon 95 kilo de graisse, garanti 100 % bon gras. Elevée avec des produits naturels bien gras et bien sucrés, la truie est une candidate pour se hisser au rang supérieur des "Grosses Truies à 100 kilos" et s'y m'intenir. Hélas, elle a commencé à faire de la piscine et un autre sport à raison de deux fois par semaine... du coup, elle a vachement perdu. De mon côté, je redouble d'effort pour la gaver encore plus, mais se voyant maigrir, elle fait plus attention à la nourriture. Ceci étant dit, elle bouffe malgré tout encore comme une grosse vache.
Retour dans la chambre. La salope a enfin décidé de venir poser son gros cul boutonneux et flasque sur le lit porcherie pour assouvir mes besoins sexuels.
Elle a toujours sa culotte pleine de pisse. Je lui demande d'écarter sa moule et je la flasche en lui dictant les positions : "écarte ta chatte... descend tes jambes... mieux que ça, écarte bien tes lèvres avec tes doigts..."
Une fois son trou bien ouvert, je lache l'appareil photo et je vais foutre ma langue dans son orifice puant. Je suce et lèche en alterné, sa chatte et sa culotte.
Je lèche tout en me branlant, les fesses bien tendu. M me traîte de p'tit pd qui cherche à se faire enculer. Voyant qu'en m'insulant et en me méprisant je jouirais plus vite, elle s'en donne à coeur joie. Elle me pète même à la gueule en me disant : "tiens ! prend ça gros porc !". Elle me pisse encore quelques tous petis jets qui lui restait dans la bouche. Je jouis sur le lit.
M s'en va et fait couler un bain. Voila la grosse encore puante quelques instants...
Soirée :
On est à poil tous les deux sur le lit et mutuellement, on se fait mal. Chacun fessant l'autre. Au début doucement mais fermement et rapidement de plus en plus fort jusqu'à se faire mal. On se sert de nos mains ou d'un rouleau de celophane en carton très dur.
la truie :
le porc :
(à suivre)
Dimanche 13 février 2011
Matinée :
On se réveille ensemble, on se caresse puis M prend les choses en main. Elle me dit qu'elle a envie de pisser et sans attendre ma réponse se met en position accroupie sa chatte collée à ma bouche. Elle se tient au mur, moi je suis allongé. "Et que le matelas soit propre après !" me lache-t-elle. Et là, elle m'envoie sa première pisse de la journée directement dans la gueule. Une vieille pisse qui a macéré toute la nuit dans son gros bide. Je viens de me réveiller, et je me retrouve avec de grosses quantités de pisse bien jaune et bien forte dans la gorge. J'avale quasiment toute sa pisse. La truie ne s'arrête pas de pisser. Je ne sais pas combien j'ai dû avaler... Mais vers la fin, j'en recrache sur le lit tellement qu'elle me noie le gosier. Je jouis sur mon ventre. M gueule car le lit est encore mouillé. "... même pas capable de tout avaler...".
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Reste de la journée, rien, repas famille.
Fin de soirée :
Juste avant de se coucher, je secoue les draps et refait le lit,
pour qu'il acceuille ma bonne grosse truie.
Lundi 14 février 2011
Soirée :
Baise classique, en missionnaire et sur le côté. Sans insultes, ni pisse ni merde et sans photos. Je jouis à quatre pattes sur le sol en lui léchant le trou du cul.
Juste avant de se coucher, je lui demande de prendre la pose.
Mardi 15 février 2011
Matin :
Une photo du tas de graisse avant de partir au travail. La grosse se lave les cheveux au lavabo.
Soirée :
Il est tard, M est fatiguée. Je lui dit que je ne vais pas la baiser comme prévu, mais que je vais lui lécher ses trous. Sa chatte pue et rondelle également. Je lèche comme un petit chien. Elle me pète dans la gueule plusieurs fois quand j'ai ma langue dans son trou du cul. Puis elle me dit de me mettre par terre. Je m'allonge sur le dos et M se met à genou au dessus de mon visage. J'ai la bouche ouverte collée à sa moule et elle pisse. J'avale tout à chaque jet. Puis elle se met en position 69 et tout en continuant à pisser et prend ma bite dans sa bouche et commence à me pomper comme une pute en rute. Jusqu'à la garde et rapidement. Voyant que j'avale tout à chacun de ses jets, elle m'en envoie de plus longs et plus importants. J'en prend partout sur la gueule.
M : "espèce de lopette, même pas capable de tout avaler... tu parles d'un chiotte ! tu ne mérites même pas ma pisse."
Elle se met sur le lit, me laissant allongé dans sa pisse. Je me branle. Elle me rabaisse en me disant des saloperies.
M : "regarde moi ça, lopette, même pas capable de jouir, obligé de se branler dans de la pisse, gros porc, tu mériterais que je me fasse sauter par un autre devant toi, un mec qui me ferais enfin jouir, pas comme toi à qui il faut de la merde pour cracher, il me baisera bien lui et toi tu regarderas en te branlant, et si il a envie de se soulager, tu lui serviras de chiottes..."
Je n'en peux plus. Je suis à genou devant le lit. Elle me regarde. J'ai la gueule et les cheveux pleins de pisse et je me branle.
M : "gros porc, espèce de larve, regarde toi dans la glace, regarde la gueule de lopette que tu as !"
Moi je regarde la gueule ouverte, ma langue sortie. Je m'approche de M la bouche ouverte.
M : "dégage ! tu pues !"
Elle me traîte de cette façon pendant encore longtemps. Puis elle me donne son pied à lécher, puis ses fesses et encore son trou du cul.
M : "tu te dépêches de cracher ! magne toi lopette !"
Je vais sur le lit, m'assoie sur ses jambes et je me branle en écartant ses fesses avec mes doigts. Je jouis sur sa rondelle.
On s'endort sans se laver. Moi juste un peu de savon sur mes lèvres et autour de ma bouche (traces de merde). Mais pas les dents. Je pue la pisse des cheveux et de la bouche mais M s'endort dans mes bras.
Mercredi 16 février 2011
Matinée :
M est encore au lit, je commence à me branler à côté d'elle. Je lui caresse son ventre et son cul. Je lui demande de me pisser dessus, elle refuse et se lève. Me branle et jouis dans les draps.
Après le petit déjeuner, je me branle 1 heure de suite et jouis dans une de ses culottes sales.
Une fois fini, je vais dans la chambre et me soulage sur le lit.
Je pisse plusieurs jets sur sur les draps, sur le côté où elle dort habituellement.
L'état du lit après...
C'est là, une fois l'urine évaporée, que la grosse truie va dormir, dans des draps et un matelas qui puent la pisse.
Fin de matinée, je me branle encore une fois, presque 1h30 de suite. Je passe la journée sans me laver de la pisse d'hier. Je vais même faire des commissions avec les cheveux séchés à la pisse de ma truie.
Soirée :
Elle est aux chiottes, je m'approche d'elle et tire sur sa culotte en lui disant que c'est une culotte de grosse truie dégueulasse. Elle gueule. Je met mon nez dessus, ça pue la moule pas fraîche. Je lui dit "et en plus tu pues la grosse chatte". Gueule encore.
On se dirige ensuite dans la chambre, on se met au lit et on baise. Quelques temps après, je me met en dessous de la couette pour lui lécher la moule et le cul. Elle pousse me pête à la gueule puis je met ma tête en dessous de sa chatte et elle me pisse sur les cheveux en me disant des saloperies. Je jouis en fourrant ma gueule dans sa chatte pleine de pisse, en la léchant et en essayant d'en avaler quelques gouttes. Jouis sur les draps.
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On s'endort comme ça, la truie, sa grosse chatte poilue pleine de pisse, le porc, les cheveux plein de pisse.
Jeudi 17 février 2010
Rien
Vendredi 18 février 2010
Rien. M fatiguée s'endort en me disant "demain chéri". Je me branle dans les chiottes.
Samedi 19 février 2010
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