Le blog de couple pervers
Finalement ça n'aura duré qu'un mois. Hier soir, je l'ai sauté. Je n'aurais pas dû. En plus, elle n'a même pas pris son pied la connasse. Elle m'a dit qu'elle était devenue frigide, qu'elle ne
prenait plus de plaisir, que ça la dégoutait. Moi j'ai continué de plus belle en lui disant que de toutes façons, je m'en foutais de son plaisir. Que c'était un vide couille, c'est tout.
- Je t'ai toujours pris pour un sac à sperme. Une poubelle où je pourrais me vider les burnes. Je t'ai toujours pris sans ménagement, sans te préparer, rappelle toi ! Tu crois que je vais m'attarder sur une grosse merde comme toi ! Regarde toi. Un tas de graisse avec des trous puants. C'est tout ce que tu représente pour moi, une viande puante. Heureusement que tu pues, sinon, je ne pourrais plus baiser avec toi. Et puis, ta rien à faire connasse, comme d'hab, tu t'empiffres, tu écartes et tu ne te laves pas. Il n'y a que ta crasse, ta pisse, tes pertes, ta merde, toutes les saloperies que tu as dans le corps qui m'intéresse chez toi. Le reste me fait gerber.
Je l'ai massacré comme ça pendant tout le reste du temps. L'autre se laissait faire comme une débile profonde. Pour bien la pourrir encore plus, elle a terminé avec de la merde dans la chatte. Pendant que je léchais sa puanteur de sexe, je me foutais un doigt dans le cul pour en extraire de la merde et le remettais dans son vagin. Par deux fois, elle en a pris. Pas une seule fois elle a senti quelquechose. Quelle pauvre demeurée. J'ai jouis, elle s'est mise en position pour dormir et je suis sorti de la chambre. Quand je suis revenu, elle ronflait comme une grosse truie qu'elle est. Je me suis allongé à ses côtés et j'ai pissé dans le lit. Je me suis endormi baignant dans ma pisse, le cul merdeux (j'avais été chié avant) avec ma femme qui commençait à pourrir de l'intérieur.
Ce matin j'ai vérifié, elle ne s'est même pas lavé... Putain... Ce soir sa moule sera blindée de microbes... ça va recommencer les pertes dégueux qui lui coulent du trou.
La soirée avait pourtant bien commencé. On était dans la salle de bain. Elle m'avait bien pissé dessus, partout et surtout dans la bouche. Et c'est avec une haleine de pissotière, trempé, la bite pleine de pisse que j'ai commencé à la troncher quand on est allé dans le lit. C'est quand j'ai forcé sa gueule avec ma bite pas lavée depuis dimanche, puant sa chatte et sa pisse qu'elle a commencé à me dire que je la dégoutais. Moi je m'en foutais, je lui puantais sa bouche. La suite, vous la connaissez.
- Je t'ai toujours pris pour un sac à sperme. Une poubelle où je pourrais me vider les burnes. Je t'ai toujours pris sans ménagement, sans te préparer, rappelle toi ! Tu crois que je vais m'attarder sur une grosse merde comme toi ! Regarde toi. Un tas de graisse avec des trous puants. C'est tout ce que tu représente pour moi, une viande puante. Heureusement que tu pues, sinon, je ne pourrais plus baiser avec toi. Et puis, ta rien à faire connasse, comme d'hab, tu t'empiffres, tu écartes et tu ne te laves pas. Il n'y a que ta crasse, ta pisse, tes pertes, ta merde, toutes les saloperies que tu as dans le corps qui m'intéresse chez toi. Le reste me fait gerber.
Je l'ai massacré comme ça pendant tout le reste du temps. L'autre se laissait faire comme une débile profonde. Pour bien la pourrir encore plus, elle a terminé avec de la merde dans la chatte. Pendant que je léchais sa puanteur de sexe, je me foutais un doigt dans le cul pour en extraire de la merde et le remettais dans son vagin. Par deux fois, elle en a pris. Pas une seule fois elle a senti quelquechose. Quelle pauvre demeurée. J'ai jouis, elle s'est mise en position pour dormir et je suis sorti de la chambre. Quand je suis revenu, elle ronflait comme une grosse truie qu'elle est. Je me suis allongé à ses côtés et j'ai pissé dans le lit. Je me suis endormi baignant dans ma pisse, le cul merdeux (j'avais été chié avant) avec ma femme qui commençait à pourrir de l'intérieur.
Ce matin j'ai vérifié, elle ne s'est même pas lavé... Putain... Ce soir sa moule sera blindée de microbes... ça va recommencer les pertes dégueux qui lui coulent du trou.
La soirée avait pourtant bien commencé. On était dans la salle de bain. Elle m'avait bien pissé dessus, partout et surtout dans la bouche. Et c'est avec une haleine de pissotière, trempé, la bite pleine de pisse que j'ai commencé à la troncher quand on est allé dans le lit. C'est quand j'ai forcé sa gueule avec ma bite pas lavée depuis dimanche, puant sa chatte et sa pisse qu'elle a commencé à me dire que je la dégoutais. Moi je m'en foutais, je lui puantais sa bouche. La suite, vous la connaissez.
Ven 19 mar 2010
8 commentaires
bjr ça fait bien longtemps que nous n avons plus de photos de ta grosse truie pour nous faire bander ce qui est bien dommage car cette grosse pute nous excitait
steeve - le 18/05/2010 à 16h07
humm j'aimerai bien me la faire ton gros boudin
patrick - le 19/05/2010 à 19h09
tupuducul
opi - le 23/06/2010 à 00h06
elle nous manque ta chiennasse
chris - le 25/06/2010 à 09h32
C'est vraiment un sac a pisse ta truie, un sac a foutre, une serpillere à sperme... Elle se rapproche plus d'une fosse septique que d'une truie je dirais (encore trop respectable pour ce qu'elle
est).
C'es un chiotte humain, une poubelle a sperme a pisse et à molards. D'ailleurs tu devrais lui molarder gueule plus souvent à mon sens..; Elle sert à rien d'autre qu'à se défouler cette serpillere, je serais toi je l'attacherais dans la baignoire et j'inviterais mes potes à lui pisser dessus, elle mérite bien de se baigner dans la pisse de tous les hommes du village cette raclure.
C'es un chiotte humain, une poubelle a sperme a pisse et à molards. D'ailleurs tu devrais lui molarder gueule plus souvent à mon sens..; Elle sert à rien d'autre qu'à se défouler cette serpillere, je serais toi je l'attacherais dans la baignoire et j'inviterais mes potes à lui pisser dessus, elle mérite bien de se baigner dans la pisse de tous les hommes du village cette raclure.
nicky-larson - le 25/07/2010 à 17h05
elle est super ta pute.... je l'adore telle qu'elle est!
ferrailleuse - le 23/09/2010 à 20h10
Si ta truie ne prends plus son pied alors dérouille la ! Ma femelle a tellement peur de se faire corriger qu'elle accepte tout y compris de faire la pute dans un chenil, elle simule son plaisir
mais ne se permet plus de faire des reflexions. reste ferme.
Rascal - le 16/11/2010 à 16h18
bisous sur sa grosse chatte pourrie - pat