couplepervers

Même si mon tas de graisse n'est pas maso, elle endure bien la chienne. Je la frappe régulièrement. Sur son cul, sur ses jambes et évidemment sur ses putains de grosses mamelles. C'est la où je préfère la battre. Des grandes claques, des coups de baguette ou de fourchette... tout est bon pour lui foutre des bleus. Et elle marque bien la grosse ! Plus que sur son cul pourri bouffé aux asticots où il faut que je cogne dur pour la marquer.

Elle, ne prend pas de plaisir. Elle a mal, mais se laisse rudoyer. Je connais ses limites et je vais à chaque fois jusqu'au bout.

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Premier jour :

Le soir. Plus d'une centaine de coups de fourchette, plus des claques.




Elle a beau avoir une bonne paire de seins bien lourds et bien pendants, hélas, ses tétons sont tous petits. Malgré tout, j'adore les pincer et les étirer.
Je me branle dans sa bouche. Elle avale tout.




Deuxième jour :

Au réveil. Le tas de viande n'a quasiment pas de marques !




Plus tard dans la journée. Elle est dans les chiottes, je lui met ma bite dans la bouche, lui sort sa mamelle et commence à la maltraiter. Je part dans la cuisine chercher une cuillère en bois et je la frappe au même endroit qu'hier. Je finis par me vider dans sa gueule.




Dans la soirée. Ma videuse de couilles me fait de nouveau une bonne pipe. Avec doigt dans le trou du cul.




Troisième jour :

Au réveil.
Nous partons toute la journée. On ne fera rien.




Quatrième jour :

Dans la journée.
Elle me suce encore la bite. Durant ses quatres jours, je ne l'ai pas sauté une seule fois. Je me suis contenté de prendre mon pied sans me soucier de son plaisir : Fellation, branlage et éjaculation dans la bouche.




Dans la soirée.
Je lui demande qu'elle se pince le téton...




Devant le manque de volonté, je prend les choses en main...

Humiliation de la raclure

On venait de rentrer. Je l'ai foutu sur le carrelage de la cuisine en l'insultant plus bas que terre. Je lui disais que ce n'était qu'une merde, qu'un tas d'ordures.
- Nettoie bien le sol avec tes fringues grosse morue.
- Regarde connasse. Je vais essuyer mes grolles sur ta gueule de pute.
Et je commence à frotter ma chaussure sur son visage, en appuyant bien dessus.
- Espèce de gros tas de merde ! Tu te laisses faire en plus. Mes grolles sont dégueulasses, j'ai marché dans la pisse des chiens, dans des molards, surement dans de la merde aussi... Ordure !


Quand j'ai soulevé son haut pour faire apparaître sa graisse, elle ne dit toujours rien. Je me suis bien essuyé partout sur elle, sa gueule, son bide, ses cheveux, ses vêtements.


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J'ai terminé la séance en lui foutant la gueule dans le sac poubelle. Chez nous les ordures sont ramassées les mardi et vendredi. Les photos datent du lundi 4 janvier 2010 et comme vendredi fut férié, la poubelle contient toutes les ordures depuis mardi 29 décembre. Soit 7 jours d'immondices, un mélange puant de crevettes et de coquilles d'huîtres du nouvel an.
- Fout ta gueule dedans. Comme tu es une grosse puante, ça devrait te plaire un endroit qui pue. C'est ta place ici saleté !
J'appuyais avec mon pied pour faire entrer sa tête dans le sac, il ne disais toujours rien.


Regardez comme c'est sale. Le carrelage et le mur sont gras, plein de poussière. J'ai interdit à ma femme de faire le ménage il y a quelques temps. Je lui répète sans cesse qu'étant une grosse puante dégueulasse c'est normal qu'elle vive dans un appartement sale. Et la salope ne s'est pas fait prier ! Elle ne fait plus rien, laissant la vaisselle s'accumuler et moisir. L'appartement devient une vraie porcherie.

D'ailleurs, voyez l'état du lit conjugal... Les draps n'ont pas été changé depuis début novembre. On vient de les changer il y a quelques jours, début 2010. La photo date du 21 décembre.
Deux mois de pisses sur le lit, de torchage de culs plein de merde avec les draps, de crachats, de sperme, de sang de règles... sans compter la crasse. Et la pute dort dedans....


Nous n'avons pas d'alèze. Je préfère que le lit garde bien toutes les ordeurs d'urines et d'excréments.

Voici le matelas, début de soirée du samedi 2 janvier, après une séance de pisse sur le lit. On a tellement pissé dessus que même après plusieurs heures, tout était encore mouillé. La pisse avait même traverser le matelas sur un endroit. Nous avons du le retourner pour dormir sans avoir froid.
Nous avons également fait sécher le drap pour pouvoir nous coucher dedans. L'odeur de pisse empestait dans la chambre. On avait l'impression d'être dans des pissotières d'une aire de repos d'autoroute. On a respirer un parfum d'urine toute la nuit.
Je mettrais en lignes les photos de la truie en train de pisser partout.

Petite correction juste après le repas du soir faite avec le dos d'une fourchette. Une centaine de coups.


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Le lendemain.


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Le surlendemain.



La truie restera marquée plus d'une semaine.